'Ici commence un étrange pays à la croisée des chemins de lumière. Le sable rouge brun du désert vivait dans les sables invisibles, mais ne s’identifiait pas aux sables invisibles. La déesse des ruisseaux de vie s’est alors tournée vers l’éternel par la soif irrépressible de croyance des villes du désert.
Anoukis l’égyptienne est venue annoncer que la vie est éternelle, comme un instant-fenêtre pur et transparent sur l’île de Sehel. De sable et de feu, le désert a rejoint ainsi la mer.
Tout ici est dans le corps intérieur. Le désert n’est pas absent du monde, il entend la mer.
Il est désormais question d’une course de découvertes, à partir de laquelle chacun construit sa propre spiritualité, qui n’est rien d’autre que la vie de l’esprit en lui.'